bafouilles

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Capricorne #17

 

Résumé :

Parti pour un lieu mystérieux, Capricorne a du momentanément délaisser sa fonction de protecteur de New York et le nom qui s'y rattache. En effet, la Grosse Pomme est loin d'être hors de danger : non seulement elle ne s'est pas totalement remise de sa faille spatio-temporelle, mais d'anciens dangers ressurgissent, à commencer par les Cavaliers de l'Apocalypse qui seraient en route. Mythe ou réalité, c'est au nouveau Capricorne de le dire...

 

Mon avis, en quelques mots :

Autant le dire tout de suite, je fais partis de cette secte d’adorateurs d’Andréas qui voue, à chacune de ses nouvelles sorties d’album, une adoration hors normes ! Alors, même si parfois je suis lucide avec certains ouvrages de sa production, concernant les séries Rork, Arq et Capricorne, je trouve que l’auteur est au sommet de ce qui peut se faire de mieux dans ce style. Il se peut donc que j’use de quelques superlatifs dans les lignes qui vont suivre…

Car, avec Andréas c’est systématiquement le même constat : dessin de fou furieux (pour un auteur qui réalise en plus deux albums par an, scénario, dessins et couleurs compris !), mise en page magistrale et une construction de scénario dantesque. Chaque numéro apporte son lot de révélations et de questions au mystère colossal de cette œuvre. Mais, là où Andréas étonne c’est que tout se tient, c’est que après chaque nouvel opus, le lecteur peut reprendre sa lecture depuis les premiers volumes et découvrir des éléments qui prennent alors toute leur importance.
Bref, Capricorne, tout comme Arq, c’est une construction de maître, une leçon de scénario et de dessin. Une série incroyable, qui débute en douceur pour révéler, au fur et à mesure, son incroyable construction, ambition et complexité.

 

Bref :

Une série hors normes, de tous les superlatifs, incomparable, un chef d’œuvre en construction. Alors certes, il y a déjà 17 volumes et 18 sont prévus, mais quelle démonstration !



07/11/2013
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