bafouilles

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Sandman #3

 

Résumé :

Au cours de son emprisonnement, Sandman a retenu une importante leçon : pour demeurer, le Seigneur des Rêves devra soit changer, soit mourir. Il a pris sa décision et visite depuis la psyché des Hommes, se rapprochant d’eux plus qu’il ne l’aurait cru à leur contact. Les relations que cet être hors du temps entretient avec les membres de sa famille – les Infinis – opèrent également de nouvelles métamorphoses.

 

Mon avis, en quelques mots :

Il est difficile de faire partager l’enthousiasme, incommensurable, que l’on peut avoir pour une série que l’on considère comme ce qui peut se faire de mieux dans un média donné. C’est le cas ici pour Sandman. Je vais donc le faire court, en quelques phrases.

Sandman ne ressemble à rien de connu. C’est un projet ambitieux et tentaculaire, dense et intelligent.

Sandman, c’est la synthèse des mythologies et des poésies du monde, de nos peurs primaires, cristallisés au sein du personnage de Morphée,  le Sandman, le rêve.

Sandman, c’est Neil Gaiman et le neuvième art à son sommet, un véritable chef d’œuvre intemporel.

Longtemps mal et incomplètement édité en français, Urban comics poursuit son excellent travail éditorial en proposant enfin un écrin à la hauteur du récit de Neil Gaiman.

 

Bref :

A court de superlatifs pour décrire ce monument du neuvième art. Courez acheter et lire le Sandman, c’est une expérience indescriptible dont on ne ressort jamais complètement indemne.



18/12/2013
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